Nous en avions qui se disaient chrétiennes et dans lesquelles les Jacobins étaient représentés avec un sérieux qui aurait été bien comique s’il n’avait pas été si ennuyeux, comme les successeurs des douze Apôtres et les réalisateurs politiques de l’Évangile et de sa loi de fraternité.

Cette chronique elle-même représente déjà un pas dans cette voie. […] Si peu capables que nous soyons quelquefois d’éprouver de grandes souffrances ou de grandes joies, nous représentons pour ceux qui nous approchent des possibilités presque infinies de joies ou de souffrances : il y a là de quoi faire réfléchir, et nulle réflexion n’est plus propre à nous révéler toute la gravité de la vie. […] L’idéal dont ils se réclament représente une unité, tandis que le nombre est infini des gens qui méconnaissent cet idéal.