Les monarchiens de tout genre et de tout bord qui remplissaient les Assemblées, surtout la dernière, ne faisaient autre chose que d’éliminer un à un tous les éléments démocratiques, tous les hommes de valeur et d’ardeur qui les représentaient.
Corydon représente pour lui la poésie vive, simple et naturelle, Thyrsis l’effort pénible et le fatras.