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651. (1892) Sur Goethe : études critiques de littérature allemande

Rends-toi sur l’heure aux champs, prends la bêche et remue la terre ! […] Leurs préjugés les éblouissent et les rendent injustes. […] Hommage plus décisif qu’on ne croit rendu à notre supériorité ! […] J’irai avec Babet à la cuisine, je sais que cela vous rendra content. […] Savez-vous que cela m’a rendu un temps bien malheureuse !

652. (1892) Essais sur la littérature contemporaine

Que les blessures de l’amour-propre ou celles mêmes de la passion trahie, que la douleur physique et la souffrance morale peuvent rendre un homme difficile à vivre, chagrin, mélancolique, misanthrope, insociable : elles ne le rendent pas pessimiste. […] qu’à nous rendre les esclaves affairés de nos sens et de nos passions ? […] C’est ici l’un des points où je ne puis me rendre. […] ou encore, pour apprendre à rendre et à voir la nature, quelle école que l’art japonais, quoi qu’on en ait pu dire ! […] Pour la rendre plus facile, plus humaine, M. 

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