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532. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « L’abbé Gerbet. » pp. 378-396

C’est ici que nous rencontrons l’abbé Gerbet à l’origine. […] Sachez donc que de deux âmes qui s’étaient attendues sur la terre et qui s’y étaient rencontrées, etc.

533. (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Regnard. » pp. 1-19

Il s’y met en scène sous le nom de Zelmis, et ne s’y montre pas à son désavantage : « Zelmis, comme vous savez, mesdames, est-il dit dans le récit, est un cavalier qui plaît d’abord : c’est assez de le voir une fois pour le remarquer, et sa bonne mine est si avantageuse qu’il ne faut pas chercher avec soin des endroits dans sa personne pour le trouver aimable ; il faut seulement se défendre de le trop aimer. » Ce Zelmis a rencontré à Bologne, dans une fête, une belle Provençale, une Arlésienne, mariée à un sieur de Prade, et qui, dans le roman, s’appelle Elvire. […] Chez Beaumarchais, si on le rapprochait de tous deux, qui sont ses maîtres, on rencontrerait, jusque dans le comique, un peu le charlatan, le prêcheur du jour et le faiseur.

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