Elle est descendue sur la route au château de Bizy, et comme on lui faisait remarquer la beauté du parc et de la forêt, elle a répondu : « Oui, mais il n’y a pas d’arbres. » Les nôtres ne lui paraissaient que des baliveaux auprès de ses forêts vierges et tropicales de là-bas.
Remarquez, entre autres, le dernier vers.