/ 2025
1977. (1890) Journal des Goncourt. Tome IV (1870-1871) « Année 1871 » pp. 180-366

Dans un coin, un autre de nous fait remarquer que ce qu’il y a surtout de criminel, chez deux hommes, comme Trochu et comme Favre, c’est d’avoir été dans l’intimité des désespérateurs, dès le principe, et cependant d’avoir, par leurs discours, leurs proclamations, donné à la multitude la croyance, la certitude d’une délivrance, certitude qu’ils lui ont laissée jusqu’au dernier moment, « et il y a là, reprend du Mesnil, un danger : c’est qu’on ne sait pas, la capitulation signée, si elle ne sera pas rejetée par la portion virile de Paris ?  […] J’ai remarqué aussi que dans le bruit du coup de canon à boulet plein, il y a comme un bruit de rebondissement de tremplin, le faisant très bien distinguer de l’explosion de l’obus, même quand cette explosion est obtuse.

1978. (1929) Critique et conférences (Œuvres posthumes III)

Je connaissais Londres de longue date et me souvenais avoir remarqué dans Holborne, presque à l’intersection du Viaduc, une rangée d’une douzaine de maisons pittoresques en vérité extrêmement vieilles, datant au moins du temps d’Élisabeth. […] En eussé-je eu le temps, j’aurais tenté d’apercevoir un grand tableau que l’on remarqua justement au Salon de 1872.

/ 2025