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1035. (1836) Portraits littéraires. Tome I pp. 1-388

C’est un rôle magnifique, glorieux, incomparable, auprès duquel toutes les religions, toutes les lois, toutes les royautés ne sont rien ? […] La religion de la foi jurée n’est pas moins grande et moins sainte que la religion de la prière. […] Or, aux yeux de la loi, l’adultère est une faute, aux yeux de la religion, c’est un crime. Cependant ce n’est ni avec la religion, ni avec la loi que nous devons le juger ici. […] Depuis saint Jérôme jusqu’à Lamennais, la religion et avec elle l’adultère ont subi bien des variations.

1036. (1920) La mêlée symboliste. I. 1870-1890 « Éphémérides poétiques, 1870-1890 » pp. 181-188

. — Les Religions.

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