Ceux-ci veulent toujours, pour aller à la danse, des vêtements nouvellement blanchis ; et c’est moi que tous ces soins regardent.” […] L’homme noir, ou le chien de garde, regarde alors derrière lui, et, ne voyant plus personne, regagne seul son domicile, referme la porte de la cour et remonte, un livre à la main, dans sa chambre haute. […] Je suis riche, très riche, ajouta-t-il ; regardez, j’ai plus de cent écus dans cette bourse ; j’ai ma pension de poète à toucher incessamment par quartiers ; c’est vous qui êtes pauvre, puisque vous avez employé vingt ans de politique à vous appauvrir, et que vous devez vos jours et vos nuits à vos créanciers, que le travail ne solde pas assez vite. […] Nous la regardions en tremblant, Et plus on regardait ses yeux pleins de lumière, Plus on me demandait si l’âme de ma mère N’était pas dans cet oiseau blanc. […] On le regardait, et on disait : Qu’est-ce que cela ?
Je sais bien où tu m’appelles, Mais regarde ces barreaux ! […] Cette ferveur ascétique était le caractère dominant de son visage ; ses yeux bleus et vifs étant presque toujours perdus dans des regards qui ne voyaient de l’horizon que le ciel ; quelquefois ils étaient si visiblement retournés en sens inverse de la vision ordinaire qu’ils semblaient regarder en dedans plus qu’en dehors. […] Nous-mêmes nous regardions avec curiosité ce livre, dont la couverture inusitée excitait notre étonnement. […] Tandis que vous admirez ce soleil, qui se plonge sous les voûtes de l’occident, un autre observateur le regarde sortir des régions de l’aurore. […] Il regardait ton front de honte coloré, Et l’eau que le bouquet de tamarisque étanche Ruisselait de sa lèvre et de sa barbe blanche, Comme à travers les joncs s’égoutte l’eau d’un pré.