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29. (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXXIIe entretien. Littérature russe. Ivan Tourgueneff (suite) » pp. 317-378

Assis, immobile, je regardais comme si le rouleau de ma vie se fût déroulé devant moi. « Oh ! […] — Oui, regardez devant nous. […] « Si nous ne pouvons rien faire, qu’avons-nous à regarder ? […] Marpha Timoféevna la regarda avec ironie. […] Elle ne pleurait plus et le regardait attentivement, avec les yeux tout humides.

30. (1830) Cours de philosophie positive : première et deuxième leçons « Première leçon »

À cela les physiologistes ont objecté avec raison que, si c’était comme images qu’agissaient les impressions lumineuses, il faudrait un autre œil pour les regarder. […] L’individu pensant ne saurait se partager en deux, dont l’un raisonnerait, tandis que l’autre regarderait raisonner. […] Certainement, la mémorable discussion élevée de nos jours, relativement au principe fondamental de cette théorie, ne saurait encore, quelles que soient les apparences, être regardée comme irrévocablement terminée. […] Il s’agit de la question, encore indécise, qui consiste à déterminer si l’azote doit être regardé, dans l’état présent de nos connaissances, comme un corps simple ou comme un corps composé. […] Tout en tendant à diminuer, le plus Possible, le nombre des lois générales nécessaires à l’explication positive des phénomènes naturels, ce qui est, en effet, le but philosophique de la science, nous regarderons comme téméraire d’aspirer jamais, même pour l’avenir le plus éloigné, à les réduire rigoureusement à une seule.

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