On craignoit à Vienne le caractère entreprenant du dernier visir ; son malheur a été regardé comme une nouvelle asseurance de la paix, et la continuation en a paru d’autant plus certaine qu’elle est l’ouvrage du nouveau visir mis en sa place. » « La seconde interruption dans la correspondance de M. de Ferriol a lieu en 1709 ; elle est le résultat d’une maladie dont l’ambassadeur indique lui-même la cause et les détails dans la première lettre qu’il écrit à la suite de cette maladie : « M. de Ferriol à M. le marquis de Torcy.
Vous avez alors modifié votre hypothèse ; vous avez compris que le temps ne demande pas à être vu, mais vécu ; vous en avez conclu que si votre connaissance de la ligne MO ne constituait pas une donnée suffisante, c’est parce que vous la regardiez du dehors, au lieu de vous confondre avec le point M qui décrit, non seulement MO, mais encore la courbe tout entière, et d’adopter ainsi son mouvement.