Elle s’indigne que « des fortes têtes regardent les travaux de la pensée, les services rendus au genre humain comme seuls dignes de l’estime des hommes… Mais combien d’êtres peuvent se flatter de quelque chose de plus glorieux que d’assurer à soi seul la félicité d’un autre.
Pendant que Sita dort, et qu’elle balbutie en rêvant avec terreur sur le bras du roi le nom de son cher Rama, celui-ci la regarde dormir : « Elle rêve que je l’ai quittée », dit-il, « ou bien la vue de ces peintures qui retracent nos malheurs a troublé ses esprits… Ah !