Sa provocation au comte se fait sous les yeux de tout ce monde, Diègue en personne excitant son fils de sa parole et de son regard ; le combat brusqué commence sur la place même, au seuil du palais, et s’achève à deux pas de là. […] On a les deux sentiments solennels aux prises et en regard : la fille qui a son père à venger ; le père qui a été vengé par son fils.
Toutes les tristesses de votre cœur se dissipent à ses regards, comme les neiges au soleil. […] *** Le regard de l’enfant guérit toutes vos plaies.