L’histoire politique a d’ailleurs frayé la voie à l’histoire littéraire ; elle a reconnu et vulgarisé, depuis longtemps déjà, ces larges divisions de l’évolution nationale et même européenne. […] Ce n’est point notre intention ni notre affaire d’énumérer ici toutes les périodes secondaires entre lesquelles doit se morceler l’histoire de la littérature française ; il nous suffit d’avoir indiqué les moyens d’en reconnaître les limites.
Peut-être Mendès l’a volée et maquillée, cette idée ; mais je ne l’ai pas reconnue. […] Pourtant cette cabotine, il faut le reconnaître, sait se maquiller et un dauphin prit un singe pour un homme.