J’omets d’autres services, j’ai hâte d’arriver au centre, la bouche ; c’est à la table qu’on reconnaît une grande maison.
Je te donne de tout mon cœur ma paternelle bénédiction, et suis jusqu’à la mort ton père dévoué, ton ami le plus sûr. » Il n’y a pas de père qui puisse lire une telle lettre sans larmes ; il n’y a pas de fils qui, en la lisant, ne reconnaisse la Providence dans cette paternité divine du père et de la mère ici-bas.