Il compose les séries et les décompose, et on reconnaît dans l’agilité de ce beau joueur d’échecs historiques, je ne sais quoi du phalanstérien des vieux jours.
Dans le Romuald, de M. de Custine, il y a un sermon tout entier, prêché à la fin du roman, et il ne faut pas même être catholique pour reconnaître la différence de profondeur dans l’accent qui existe entre l’œuvre d’un écrivain catholique de conscience éternelle, et celle de l’écrivain qui ne l’est que par la supposition momentanée de son esprit.