On ne prêche pas l’entraînement, on ne le prêche pas plus que la force : il est ou n’est pas… Il reconnaissait, à la date où il écrivait ces lignes, que l’heure était déjà passée, et il en souffrait. […] Zumalacárregui a été un de ces hommes séduisants ; il a commandé, et il a été reconnu ; il a eu pour lui l’acclamation populaire, et les supériorités du rang se sont éclipsées ; il n’a rencontré que des seconds et pas de rivaux, et il ne faut pas s’étonner s’il a inspiré de la sympathie même à ses adversaires.
Ce système de M. de Lamennais, mais qui est surtout attrayant quand il se développe historiquement sous la plume de l’abbé Gerbet, n’a pas été reconnu depuis par l’Église : il a paru sinon faux, du moins trompeur, et il n’y a à lui reprocher peut-être, du point de vue même de l’orthodoxie, que d’avoir voulu s’établir à titre de méthode unique, à l’exclusion de toutes les autres : combiné avec les autres preuves et présenté simplement comme une puissante considération accessoire, il n’a jamais, je crois, été rejeté. […] En y regardant bien, vous reconnaîtrez des contours humains : ce petit tas, qui touche à une des extrémités longitudinales de la niche, c’est la tête ; ces deux autres tas, plus petits encore et plus déprimés, placés parallèlement un peu au-dessous, à droite et à gauche du premier, ce sont les épaules ; ces deux autres, les genoux.