La dissertation de Roscoe sur Lucrèce Borgia est le meilleur soufflet que des joues protestantes aient reçu de mains protestantes.
Car il le façonne et façonne le nôtre à l’image de son propre esprit ; il le définit par les émotions qu’il en tire et le figure par les impressions qu’il en reçoit. […] L’homme inspiré, passionné, pénètre dans l’intérieur des choses ; il aperçoit les causes par la secousse qu’il en ressent ; il embrasse les ensembles par la lucidité et la vélocité de son imagination créatrice ; il découvre l’unité d’un groupe par l’unité de l’émotion qu’il en reçoit.