La monarchie de Juillet avait reçu du fait de la Coalition un coup funeste dont ses partisans, acharnés qu’ils étaient désormais à se supplanter et à se combattre, ne mesurèrent pas la portée dans le moment. […] Il en résulte que la politique la plus digne et la plus hautaine consistait en ce temps-là, après un déplaisir et un léger affront reçu, à le constater : « Vous m’avez fait une insulte, je tiens à vous témoigner par mon attitude que je la ressens. » Et puis après… et puis après ?
On nous envoie un journal, le Jacobin, que nous brûlons régulièrement tous les matins. » — « Mais vous avez donc reçu de l’éducation ? […] L’intelligence humaine en possession des méthodes modernes, de ces méthodes précises et graduelles « qui lui donnent non des ailes pour l’égarer, mais des rênes qui la dirigent, » y reçoit des hommages qui ne sont, à les bien prendre, qu’un juste et fier encouragement.