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1241. (1906) L’anticléricalisme pp. 2-381

Or, le clergé régulier est tout simplement une milice romaine, secouant le joug de l’Ordinaire, n’ayant ni patrie ni personnalité, obéissant, perinde ac cadaver, au gouvernement absolu d’un étranger… » Ce rapport est, suppose-t-on, de M.  […] Ce rapport parfaitement juste entre des monopolisations et des socialisations du reste si différentes, est à remarquer et à méditer. […] L’idée générale de l’égalité, de l’égalité « réelle », n’est pas d’un très bon rapport. […] Or, on peut le dire maintenant, de tous les propos qui s’échangèrent au conseil supérieur de la guerre, de tous les rapports qui parvinrent des commandements au gouvernement, de toutes les confidences qui furent faites, et j’en ai reçu, il résulta que nous n’étions pas prêts le moins du monde. […] Combes est indifférent à la perte de notre influence en Orient : « D’abord les deux questions [séparation de l’Église et de l’État et Protectorat des chrétiens d’Orient] ne sont pas nécessairement liées ensemble, l’une concernant nos rapports avec la Papauté, l’autre nos relations diplomatiques avec d’autres puissances.

1242. (1889) Les artistes littéraires : études sur le XIXe siècle

Comment trois abstractions aussi différentes l’une de l’autre que la perfectibilité, la moralisation et l’idéal peuvent-elles aller se confondre et se résumer en une quatrième, qu’on dénomme ici l’utile, et qui ne présente avec les premières aucun rapport de similitude ? […] et comment mériterait-il de nous occuper, sauf peut-être dans ses rapports avec celui pour qui il a été fait et auprès duquel il n’est rien ? […] Faut-il chercher à établir un rapport quelconque entre ces poètes déjà anciens qui présidaient à l’éclosion d’une forme artistique nouvelle, le drame anglais, et cet autre poète moderne qui devançait la création d’une autre forme de l’art également inédite, le roman contemporain ? […] Maxime Du Camp d’avoir révélé au public les accès dont son ami fut victime, « et d’avoir cherché à établir un rapport entre la nature artiste de Flaubert et l’épilepsie, à expliquer l’une par l’autre287 ». […] Ce sont là des tendances, bien en rapport sans doute avec son tempérament original, par contre bien peu conformes à la doctrine et aux principes vers lesquels semblent incliner ses romans modernes.

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