Edmond et Jules de Goncourt sur Mme de Pompadour… Mais enfin, si les livres d’étrennes, selon l’antique usage qui avait bien sa raison d’être, et sans prêcher la vertu et le renoncement, devraient pouvoir être lus et feuilletés indifféremment par tout le monde, on eût sans doute mieux fait d’attendre un autre temps et une autre occasion pour publier, cette nouvelle édition de Mme de Pompadour… Cette Revue des Deux Mondes, à l’heure présente, est vraiment, — vraiment, bien pudibonde. […] Et puis, Monsieur, la scène à faire, c’est le renouvellement du secret du théâtre, de cette vieille mystification, si vertement blaguée par Flaubert : ça fait partie du parapharagamus des escamoteurs, c’est le facile moyen d’abîmer une pièce, sans donner la raison valable de son éreintement.
Aussi, par beaucoup de raisons, quoique ces sortes de succès soient de ceux qu’on puisse le moins prédire et provoquer, je ne sais me dérober à l’idée que Jocelyn en mérite un semblable et y atteindra.