Baillarger, que d’entendre les malades se plaindre que les interlocuteurs invisibles leur racontent une foule de choses qui les concernent… Comment, pour me servir de l’expression d’une malade, peut-on lire dans leur vie comme dans un livre ? […] Le rêve en l’évoquant m’avait comme révélé ce que j’ignorais. » — Pareillement, Théophile Gautier me raconte qu’un jour, passant devant le Vaudeville, il lit sur l’affiche : « La polka sera dansée par M… » Voilà une phrase qui s’accroche à lui et que désormais il pense incessamment et malgré lui, par une répétition automatique.
Abigaïl, revenue en sa maison, trouve son mari ivre au milieu d’un festin ; elle lui raconte le danger qu’il avait couru. […] Il raconte la filiation des héros de cette maison.