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448. (1880) Les deux masques. Première série. I, Les antiques. Eschyle : tragédie-comédie. « Chapitre XIII, les Atrides. »

L’autre raconte qu’ayant un jour invité les dieux, et voulant les tenter ou les honorer, il égorgea son jeune fiIs Pélops, dépeça ses membres, et leur servit, mêlée à d’autres viandes, cette chair palpitante. […] Le matin venu, il rassembla les capitaines et les devins de l’armée et leur raconta la vision funeste.

449. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1852 » pp. 13-28

Il nous promène dans sa maison dont il nous raconte l’histoire : un ancien atelier de faux-monnoyeurs sous le Directoire, devenu la propriété du fameux Leroy, le modiste de Joséphine, qui utilisa la chambre de fer où l’on avait fabriqué la fausse monnaie à serrer les manteaux de Napoléon, brodés d’abeilles d’or. […] Un jour qu’il avait été obligé de le quitter deux heures, il le retrouvait sur la place où il avait accroché le sous-préfet, et lui racontait comment les petites filles s’amusent dans les pensions.

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