Frédéric Masson nous a raconté, dans son histoire, cette ruine par amour du roi de la grande et séculaire maison d’Adhémar de Grignan, enfermée, comme un palais enchanté et maudit, dans le tortueux et inextricable labyrinthe de dettes énormes et dont, remède pire que le mal !
Puisqu’il voulait raconter la fin de la Judée sous les pieds de Rome, n’avait-il pas à nous montrer les figures de Galba, d’Othon, de Vitellius, de Vespasien et de Titus, le preneur de Jérusalem, se détachant, par le côté individuel et humain, sur des événements plus grands que l’homme, des événements de la Providence !