J’espère que nous ne quitterons point ce pays-ci, que cette race de Barbets n’en soit entièrement extirpée. […] On ne vint point à bout des Barbets ni de la race ; il le reconnut plus tard.
Mais cette explication des livres par les hommes, et des hommes par la race et le milieu, n’est souvent qu’un leurre. […] Il suppose une race un peu affaiblie, une diminution de la force musculaire et un raffinement du système nerveux, la persistance de l’esprit d’analyse au fort même des sensations les plus propres à vous faire perdre la tête, par suite une certaine incapacité de jouir pleinement et tranquillement de son corps, le sentiment de cette impuissance, un retour paradoxal, en pleine débauche, au mépris de la chair, et, dans la souillure même, une aspiration à la pureté, moitié feinte et moitié sincère, qui ravive la saveur du péché et le transforme en péché intellectuel, en péché de malice… De M.