/ 1825
24. (1854) Nouveaux portraits littéraires. Tome II pp. 1-419

Peut-être eût-il mieux valu n’attribuer au héros qu’un rôle unique et nettement déterminé, et poursuivre ce rôle dans tous ses développements. […] Reste le troisième rôle, je veux dire le rôle de traître. […] Castruccio joue son rôle d’envieux avec une brutalité qui fait honneur à M.  […] Le rôle de la philosophie commence où finit le rôle de la physiologie. […] Je ne dois pas oublier non plus le rôle du clergé catholique dans l’avènement de la seconde race, ou, pour parler plus clairement, dans la seconde invasion, rôle que M. 

25. (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Essai sur la littérature merveilleuse des noirs. — Chapitre IV. Personnages des fables. »

— Les deux grands premiers rôles. — Le lièvre roublard et sceptique, mais serviable. — L’hyène stupide et crédule, féroce, vorace et infatuée. — Divers sobriquets de l’hyène. — Son rôle dans les contes. — Rôle de l’homme dans les fables. — Portrait peu flatté. — Animaux divers jouant un rôle fréquent dans les fables. — Le roi des animaux dans la littérature indigène : lion, éléphant et hyène ; le riz. […] Qu’il figure dans les contes ou dans les fables, c’est toujours à son honneur, différent en cela de l’hyène, dont le rôle est beaucoup plus relevé dans les contes que dans les fables où son sort constant est celui de la dupe.

/ 1825