Il écrivait une Étude sur le rôle de l’accent latin dans la formation du français, une Histoire poétique de Charlemagne, des dissertations sur le Pseudo-Turpin ; il publiait la Vie de saint Alexis ; il fondait la Revue critique et la Romania.
Il éprouve même « l’humble orgueil des hommes obscurs qui ont un instant la conscience nette de leur rôle utile et ignoré dans une grande œuvre » (p. 222).