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1695. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Les nièces de Mazarin et son dernier petit-neveu le duc de Nivernais. Les Nièces de Mazarin, études de mœurs et de caractères au xviie  siècle, par Amédée Renée, 2e éd. revue et augmentée de documents inédits. Paris, Firmin Didot, 1856. » pp. 376-411

En tout, le duc de Nivernais y fait bien son rôle ; il traduit des compliments en vers de Walpole à l’adresse de Mme de Boufflers, de Mme d’Usson (une belle Hollandaise)65 ; il improvise des vers à miss Pelham dans le belvédère ; le soir, au concert, il fait sa partie de violon ; il danse malgré ses rides, et à Horace Walpole, qui a une ride de moins, il donne la hardiesse de l’imiter.

1696. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « MADAME DE LONGUEVILLE » pp. 322-357

Arnauld, les autres à M. de Saci ; mais je ne le crois pas de ce dernier, il n’écrit pas si bien. » A ce mot, Arnauld oubliant le rôle de son habit et secouant vivement son ample perruque : « Que voulez-vous dire, monsieur ?

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