Car le barbare, avec ses rêves et ses fables, vaut mieux que l’homme positif qui ne comprend que le fini.
« Herbart, dit-il, eut le mérite, durant la longue période où l’Allemagne était perdue dans les rêves de l’idéalisme, de maintenir toutes ses spéculations sur une base réelle, et de ne jamais noyer les faits de conscience dans les phrases et formes purement dialectiques.