Ils y embrasseront la plus heureuse partie d’une vie, la fleur de quinze années d’études, de rêves et d’amour.
Quel dommage qu’il ne demeure de tout cela qu’une impression confuse, une impression de vision et de rêve !
Ils y embrasseront la plus heureuse partie d’une vie, la fleur de quinze années d’études, de rêves et d’amour.
Quel dommage qu’il ne demeure de tout cela qu’une impression confuse, une impression de vision et de rêve !