L’air de sincérité qui regne dans toute sa narration, les sages réflexions dont elle entremêle ses récits, font trouver grace à son style quelquefois prolixe & languissant, mais simple, naturel.
On ne reconnaît Calipso qu’[à] une sottise qu’elle fait ; c’est de présenter une pêche à Telemaque, qui a bien plus d’esprit que la nymphe et Mr Boizot, car il continue le récit de ses aventures sans prendre le fruit qu’on lui offre.