Mais il nous a trop parqués dans un monde d’aristocratie humaine créé par lui, et qui, en somme, n’est pas le monde de la réalité… « Il n’y a pas de minuit tissé d’étoiles », disait magnifiquement lord Byron. […] Qu’il descende donc de ses Pléiades, qu’il replace ses pieds sur le terrain de la réalité (cela ne lui sera pas difficile puisqu’il est diplomate !)
Je ne m’y ferai jamais, jamais je ne cesserai de regarder l’allégorie comme la ressource d’une tête stérile, faible, incapable de tirer parti de la réalité, et appellant l’hiéroglyphe à son secours ; d’où il résulte un galimatias de personnes vraies et d’êtres imaginaires qui me choque, compositions dignes des temps gothiques et non des nôtres.