Il n’a pas même compris ces brigandages, qui, pendant un temps assez court d’anarchie féodale, furent l’exception, pour ces générations et nations guerrières, quand la règle était le point d’honneur ! […] Il n’y a aucune analogie entre notre état actuel et ces règles.
Du coup de cette poétique, en effet, et de sa seule autorité privée, Gustave Rousselot affranchit la poésie française de ses règles séculaires, dans l’intérêt de ceux qui n’ont pas assez de vigueur pour les subir, et dans le sien, à lui, qui s’en croit tant ! […] Les règles prosodiques gênent tout le monde, les débiles et même les forts.