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555. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Deltuf » pp. 203-214

Deltuf20 I Je ne connais rien de plus cruel que le hasard des livres, et même que tous les hasards, — mais, en ma qualité d’écrivain, celui des livres me frappe et m’impatiente davantage. […] L’homme qui a écrit La Famille Percier, — cette tragédie domestique qui n’est pas du tout un mélodrame, — et Le Mariage de Caroline, où l’observation a tant de regard, — est bien capable d’acquérir en les développant ces qualités de profondeur, de couleur et de sensibilité qu’il a en germe, et dont nous ne pouvons pas nous passer au dix-neuvième siècle.

556. (1895) La comédie littéraire. Notes et impressions de littérature pp. 3-379

Enfin la langue est de qualité douteuse. […] S’il n’y prend garde, ses qualités, en s’exaspérant, se changeront en défauts. […] J’ai dit les qualités de Maurice Maeterlinck. […] Mais ces légers défauts, qui s’amenderont, n’enlèvent rien à ses belles qualités. […] Il faut prendre M. d’Esparbès avec ses qualités et ses défauts.

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