» Elle avait en France une tante, fille de qualité, riche, vieille et dévote, qui lui avait refusé si durement des secours lorsqu’elle se fut mariée à M. de la Tour, qu’elle s’était bien promis de n’avoir jamais recours à elle, à quelque extrémité qu’elle fût réduite.
Les qualités dont elle a été comblée convenaient à la dépendance, loin d’être destinées à la domination.