Mais en obéissant à l’impulsion et au progrès naturel de mes sentiments, j’ai écrit l’année suivante un recueil, bien imparfait encore, mais animé d’une inspiration douce et plus pure, Les Consolations, et grâce à ce simple développement en mieux, on m’a à peu près pardonné.
C'est pur, délicat, poétique et tout à fait touchant, fort au-dessus de ce qu’on est convenu d’appeler distingué en pareil genre.