Dans un autre ouvrage, dans le Traité de Diction que j’ai publié il y a deux ans, j’ai insisté sur la nécessité pour un acteur de se composer un extérieur physique en rapport avec le sentiment moral du personnage qu’il représente. […] Nous avons parlé plus haut de son influence sur le goût publie, de son importance au point de vue du plaisir le plus pur qu’il nous soit donné d’éprouver au théâtre.
Publier un livre sous le patronage des confrères de sa génération, quand on est femme et de naissance étrangère, c’est s’assurer un double titre à la bienveillance d’un accueil qui, sans ces circonstances, eût pu rencontrer plus de froideur.