Souvent ces forces se divisent, plus souvent encore elles se combattent ; tantôt l’une d’entre elles agit sur les autres comme force de contrainte et de résistance, ainsi qu’on pourrait le prouver par de nombreux exemples de l’âge classique anglais, et notamment par le plus illustre de tous, celui de Swift ; tantôt deux d’entre elles se liguent en révolte ouverte contre la troisième : c’est notamment le cas de lord Byron. […] « Furieux, il m’envoya un Provençal de ses compatriotes pour me dire qu’il connaissait bien son accusateur près de Sa Majesté et que, afin de me prouver son ressentiment, il s’arrangerait en tous lieux pour traverser mes projets d’ambition.
Ce cor lui prêtera secours dans le péril, cette épée lui donnera la victoire, cet anneau lui rappellera celui qui prouva l’innocence de sa sœur. […] Il est persuadé que, de tout temps, les Français ne surent point faire leurs affaires, et, non content de le leur dire, il veut le leur prouver. […] Je dirai, au contraire : Napoléon ne s’irritait point de l’injure ; il ne se cabrait point ; et je ne manquerai pas de faits pour le prouver. […] Zola inaugura la publication de ses romans cycliques, et l’événement a prouvé qu’alors les longs espoirs et les vastes pensées lui étaient permis, puisque enfin le cycle est aujourd’hui presque achevé, non sans quelques disparates, à la vérité. […] Michel Bréal, qui prouve que la philologie moderne ne méprise pas la langue d’Albert le Grand et de sainte Hildegarde.