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2624. (1890) Journal des Goncourt. Tome IV (1870-1871) « Année 1870 » pp. 3-176

c’est illogique et déraisonnable, ces propositions me jettent dans une profonde tristesse. […] 18 juillet Je ne suis pas malade, mais mon corps ne veut ni marcher ni agir, il a horreur de tout mouvement, et serait heureux d’une immobilité de fakir ; avec cela, j’éprouve à l’état continu, au creux de l’estomac, ce sentiment nerveux du vide que donnent les profondes émotions, et que fait plus douloureux encore l’anxiété de cette grande guerre qui va s’ouvrir.

2625. (1895) La science et la religion. Réponse à quelques objections

Les quelques ressemblances qu’on a signalées entre le bouddhisme et le christianisme, pour être d’ailleurs infiniment curieuses, ne sauraient en effet masquer la différence profonde, la différence intime qui les sépare, ou qui les oppose.

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