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424. (1905) Propos de théâtre. Deuxième série

Il aurait pu être, il a été à peu près le prince de la critique ; il a voulu être un dictateur de la critique. […] L’autre, Rodogune, il se trouve qu’elle est aimée d’un prince, et même de deux. […] Leitner, insuffisamment distingué pour un prince, a eu, d’ailleurs, de la chaleur vraie dans le rôle de Séleucus. […] Les princes sont un peu interloqués. […] Autrefois, la tragédie représentait les infortunes des princes et la comédie les ridicules des citoyens ; aujourd’hui, il nous faut le drame pour les infortunes des citoyens et les pièces historiques pour les ridicules des princes. » Le paradoxe est bien spirituel.

425. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 419-421

Une chaîne continuelle de généalogies, de noms de Princes, destinés, par leur peu de mérite, à ne servir qu'à établir les dates de la Chronologie, des portraits de Généraux, de Ministres, tracés d'imagination, sans aucune vraisemblance, l'Esprit de Parti toujours prompt à répandre la louange & le blâme, sans aucun discernement, formoient le tissu principal de leur narration.

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