Dupin s’est terminé par un avertissement aux gens de lettres et aux artistes de tout espérer d’un prince qui n’a cherché, dans l’exil, d’autre ressource que celle de devenir un modeste professeur ; d’un prince qui sait toutes les langues de l’Europe, et qui pourrait parler à chaque ambassadeur la sienne, s’il n’aimait mieux parler français à tous.
Je l’aurais fait prince ! […] Voir : Les princes de la jeune critique, pp. 229-264, ou bien la Nouvelle Revue, 1er février 1890.