Henri Mazel « La poésie, a dit Stuart Merrill, est d’une saine et suave jeunesse parée de fleurs un peu pâles et alanguies d’une mélancolie à laquelle il faut croire sans trop s’apitoyer. » C’est bien, en effet, ce, qu’indique le titre de son premier volume, à la fois riant et plaintif, les Ariettes douloureuses, contrepartie de la sérénade de Don Juan où les pizzicati de la mandoline enguirlandent et gouaillent le sentimental du chant d’amour.
Ses premiers travaux littéraires se bornent à la composition de la Gazette.