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281. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 438-439

On prétend que les cinq Entretiens qui composent ce Livre original, sont le résultat des conversations de l'Auteur avec quelques autres Beaux-Esprits qui s'assembloient souvent pour s'égayer ensemble.

282. (1880) Études critiques sur l’histoire de la littérature française. Première série pp. 1-336

Et d’abord, sans prétendre ici toucher à la question de métier, oserai-je dire qu’il ne me semble pas que les lectures nouvelles de M.  […] D’autres, au contraire, ont prétendu, comme par exemple M.  […] Mais un nommé Clément a prétendu que Voltaire était le neveu du pâtissier Mignot ; il a même osé prétendre que l’abbé Mignot, conseiller de grand’chambre au parlement Maupeou, neveu de Voltaire, était le petit-fils de ce même pâtissier ; et voilà le Parlement intéressé à venger l’amour-propre généalogique des Arouet et des Mignot. […] Il n’est pas cependant, comme la critique étrangère a pris plus d’une fois un malin plaisir à le prétendre, comme l’a prétendu Gœthe lui-même, « le plus grand écrivain qu’on puisse imaginer parmi les Français ». […] Rien ne nous garantit, je crois, que la pomme existe à destination de nos tables, ou la rose pour orner des boutonnières et des corsages : Bernardin de Saint-Pierre l’eût seul osé prétendre.

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