Il faut, en effet, avoir poussé jusqu’au bout la décomposition de ce qu’on a dans l’esprit pour arriver à s’exprimer en termes simples.
et s’il l’est, doit-il céder à l’instinct qui le pousse ; doit-il écouter plutôt la raison qui le conseille ? […] Qui a nié l’une, essaiera de changer l’autre : la logique des idées et celle des passions y poussent inévitablement. […] C’est la société qui l’a poussé à la révolte, au vol, au brigandage. […] C’est la cupidité astucieuse et féroce, qui exploite le travailleur tant qu’il est valide, qui le chasse vieux ou infirme, et le pousse au désespoir et au suicide. […] Il n’y conclut pas, mais, ce qui est bien pis, il y pousse, en l’exaltant, en l’idéalisant.