Partant de la vieille et banale comparaison d’un peuple libre à un cheval sauvage, Barbier a traduit dans les images qui montrent l’animal dompté, enlevé, poussé, crevé par son écuyer, l’histoire de la France asservie par Bonaparte, lancée à travers l’Europe, épuisée de guerres, et agonisante enfin avec lui.
Nous n’emploierons donc pas toutes nos armes ; nous n’abuserons pas de nos avantages, de peur de jeter, en pressant trop l’évidence, les ennemis du christianisme dans l’obstination, dernier refuge de l’esprit de sophisme poussé à bout.