Elle implore ensuite l’Amour, pour qu’il daigne, au moins, lui faire partager ses feux, & qu’il mette dans le cœur de son nouvel amant autant ou plus, s’il est possible, d’ardeur pour son amante, qu’elle en ressent pour lui : Ah !
Soyez persuadés qu’il faut un concours de circonstances bien graves pour que je me décide à débiter de pareilles phrases… (Il brandit son yatagan.)