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2069. (1826) Mélanges littéraires pp. 1-457

La définition d’un mot, l’explication d’une étymologie, sont des choses trop curieuses et trop arbitraires pour qu’on puisse les avancer au soutien d’un principe important. […] Dans le chapitre intitulé, Rapport des deux Natures de l’Homme, voici comme il parle de l’union de l’âme avec le corps : « Son âme et son corps sont tellement unis, qu’ils sont obligés, pour ainsi dire, d’assister réciproquement à leurs jouissances et d’en modifier la nature, pour qu’ils puissent y participer également.

2070. (1866) Nouveaux essais de critique et d’histoire (2e éd.)

Presque tous sont malheureux ; tous souffrent, tous ont des inclinations mauvaises ; donc tous ont commis des fautes, et il en a fallu de grandes pour que la vie telle que nous la subissons ici-bas leur fût infligée. […] « Nous devrions tous assiéger le trône de Dieu de nos prières pour qu’il extirpe de la face de la terre toute la classe de ces tigres, de ces lions humains, de ces Mammouths qu’on appelle des rois. […] Que veut donc Charlemagne, et quelle condition si rude met-il à la paix, pour qu’un serviteur comme Renaud ne l’accepte pas ?

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