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2048. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Il s’adressait à tous les instincts du peuple ; il lui parlait de bonne chère et de gros vin, et de poudre à canon : il était tout à fait le bouffon comique, facile à gouverner, à qui l’opposition eût fait peur, et qui trouvait que tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles, pourvu que du haut d’un tréteau solide il se réchauffât à quelque bienfaisant rayon de soleil, quatre ou cinq fois par jour. […] Possible que malgré la cure qu’elle essaie Mon âme saignera longtemps de cette plaie. […] Est-ce bien possible ? […] il y aurait peut-être une guerre possible, avec ce nom-là de plus. […] » Et l’indignation de La Bruyère à propos de cet Homme à bonnes fortunes, qui oubliait son bonnet de nuit chez les duchesses : « Il peut y avoir un ridicule si bas, si grossier ou même si fade et si indifférent, qu’il n’est ni permis aux poètes d’y faire attention, ni possible aux spectateurs de s’en divertir… Ces caractères, dit-on, sont naturels.

2049. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « MADAME DE KRÜDNER » pp. 382-410

La dernière limite où l’on conçoit Mme de Krüdner possible avec ses facultés complètes et toute la convenance de son développement, c’est la fin du seizième ou le commencement du dix-septième siècle.

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