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1735. (1894) La bataille littéraire. Septième série (1893) pp. -307

Rodenbach, pleine de coquetteries, de miroitements, de sourires engageants, de promesses inaccomplies, maîtresse qu’on espère toujours, qu’on ne possède jamais complètement, et qu’on finit par trahir pour quelque bonne et belle fille, moins raffinée, moins délicate, mais qui se montre franchement et facilement dans la beauté que la nature lui a donnée.

1736. (1857) Réalisme, numéros 3-6 pp. 33-88

… Lucidité toutefois funeste en ce point que ceux qui ne comprennent pas ces puissantes facultés doutent quelquefois de la moralité de celui qui les possède. » Les gens qui attaquent la moralité de Balzac sont donc des gens qui ne comprennent pas sa force et croient que le roman n’est qu’une « fête, un bal donné par un hôte complaisant à des imaginations qui veulent s’amuser ».

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