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297. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « La Grande Mademoiselle. » pp. 503-525

Si elle tint quelque temps l’épée comme une guerrière, elle a beaucoup produit la plume à la main : non seulement elle a laissé des Mémoires intéressants et très véridiques, dont on a dit « qu’ils sont assez mal écrits pour que l’on puisse s’assurer qu’ils sont d’elle », mais on a encore de sa façon de petits romans, des portraits, des lettres. […] Elle en composa un ou deux à cette époque (1658), ainsi que des portraits de société, dont la mode venait de s’introduire. Elle en fit imprimer tout un volume à Caen (1659), par les soins de Huet, à un petit nombre d’exemplaires : la plupart de ces Portraits étaient d’elle. […] Je ne la suivrai pas dans ses diverses compositions et rapsodies littéraires (portraits, romans de société), et j’arrive au grand événement de sa vie pour achever de la saisir.

298. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Le Prince » pp. 206-220

portrait d’une jeune fille quittant les jouets de l’enfance pour se livrer à l’étude. du même. […] portrait d’une femme qui brode au tambour. du même. […] portrait d’une fille qui vient de recevoir une lettre et un bouquet. du même. […] Même jugement de l’ oiseau retrouvé, du musicien champêtre, de la fille endormie, de la dame qui brode, du portrait de la demoiselle qui vient de recevoir une lettre.

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