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2573. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « MADAME DE SÉVIGNÉ » pp. 2-21

C’est sans doute faute d’avoir fait ces remarques et de s’être rendu compte de la différence des temps, que plusieurs esprits distingués de nos jours paraissent assez portés à juger avec autant de légèreté que de rigueur un des plus délicieux génies qui aient existé.

2574. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « MADAME DE SOUZA » pp. 42-61

Patin, dans un jugement qu’il a porté sur Mme de Souza19, préfère ce joli roman de Charles et Marie à tous les autres.

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